Y a t-il des aliments à privilégier et/ou à éviter pendant l’allaitement ?
C’est une question que se posent de nombreuses mamans, n’est-ce pas ?
Peut-être avez-vous déjà entendu ce genre de discours :
« La mère qui allaite doit manger certains aliments et se priver de certains autres » et/ou « Elle doit manger davantage pour produire plus de lait. »
Mais encore…
« La mère qui allaite doit boire beaucoup » ou « La mère qui allaite doit boire du lait pour pouvoir en produire ».
Il existe de très nombreuses idées reçues sur l’alimentation pendant l’allaitement !
Alors quel régime alimentaire faut-il adopter ?
C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet article…
Et petit bonus, dans la 2e partie, je réponds aux questions les fréquentes des mamans 😉
Aliments allaitement : y a-t-il des aliments à éviter ?
Pendant la grossesse, si vous êtes immunisées ou non contre la toxoplasmose, il y a une liste d’aliments à éviter afin de limiter le risque de contracter la maladie !
Alors pour les fans de mayonnaise, de sushi ou de jambon cru… Disons qu’il faut prendre son mal en patience 🙂
Bon, nous ne sommes pas ici pour parler de la grossesse, mais plutôt pour parler de l’alimentation pendant l’allaitement.
Et cette fois-ci, je vais directement rentrer dans le cœur du sujet !
Une mère qui allaite peut manger et boire la plupart des choses qu’elle souhaite, car aucune règle alimentaire spécifique n’est justifiée ni interdite.
Voilà, vous savez tout…😁
Plus sérieusement, je vous donne plein de chouette informations sur le sujet dans cet article alors je vous invite à le lire jusqu’au bout.
🌸 Quel régime alimentaire est recommandé pendant l’allaitement ?
Eh bien, il est conseillé d’avoir une alimentation variée et équilibrée, car une bonne nutrition aide la mère à rester en bonne santé !
Et de l’énergie, il en faut quand on a un bébé n’est-ce pas ?
Le choix des aliments a t-il un impact sur mon enfant ?
Eh oui !
Selon ce que vous mangez, cela peut influencer les préférences alimentaires de votre tout-petit à l’avenir…
Plus clairement, si vous mangez beaucoup de sucreries, de bonbons, de gâteaux, il y a de fortes chances pour que lui aussi en raffole plus tard.
Alors, faîtes-vous plaisir bien sûr, mais sans trop d’excès…
En général, la plupart des mamans suivent leur régime habituel d’avant la grossesse.
Et qu’en est-il des aliments épicés ?
Maria, une amie, me confiait avoir arrêté les aliments épicés…
Et pour une créole, je peux vous dire que ça a été difficile (Eh oui, pour la petite histoire, la cuisine créole est une gastronomie où l’on retrouve beaucoup d’épices et d’aromates.)
En fait, elle avait entendu que la plupart des épices (et certains aliments) pendant l’allaitement pouvaient causer des maux de ventre ou des gaz au bébé…
Bien sûr, il peut arriver qu’un enfant soit sensible à un aliment ou à un groupe d’aliments particulier, mais il n’est pas nécessaire de restreindre votre alimentation par précaution.
Ce que je peux vous conseiller, c’est vraiment d’être dans l’observation de votre enfant.
Vous constatez qu’après avoir mangé un poulet au curry, il semble avoir mal au ventre ?
Alors stoppez cet aliment épicé quelques jours et voyez à nouveau comment se comporte votre tout-petit 😉
🌸 Est-ce que mon régime alimentaire peut avoir une incidence sur ma production de lait ?
Avant de vous parler de la qualité, je tiens à vous parler de la quantité.
Sachez que le volume de lait maternel produit dépend principalement de la fréquence et de l’efficacité avec lesquelles les seins sont vidés par le bébé ou par un tire-lait.
C’est pourquoi (je le dis tout le temps 😁)…
Il est nécessaire de pratiquer l’allaitement à la demande en proposant des tétées dès les premiers signes d’éveil, fréquemment et sans limite de temps.
Et alors qu’en est-il de la qualité de mon lait ?
Rassurez-vous, un régime alimentaire n’a pas besoin d’être parfait pour produire un lait maternel nutritif !
Eh oui, dans son livre, La Leche League informe :
» Manger plus ne vous fera pas produire plus de lait, et manger moins n’influera pas sur la quantité de lait. Vous n’avez pas besoin d’un régime alimentaire parfait pour que votre lait reste nutritif. Votre lait est fabriqué à partir de votre sang. Si vous n’avez pas eu à vous soucier de la qualité de votre sang ces derniers temps, vous n’avez pas besoin de vous préoccuper de la qualité de votre lait ! »
Toutefois, le régime alimentaire de la mère peut avoir des effets subtils sur le lait maternel…
Voici ce qu’en disent les recherches :
Les micronutriments dans le lait maternel
Si une mère est gravement sous-alimentée ou si certains nutriments, comme la vitamine D, l’iode ou la vitamine B12, sont faibles ou absents de son alimentation, cela peut affecter l’équilibre des micronutriments dans le lait maternel.
(Pour info, j’en reparle un peu plus bas dans la 2e partie de cet article )
La saveur du lait maternel
Saviez-vous que des traces de votre alimentation passent dans le lait maternel ?
Eh oui… Conséquence ?
Votre lait adopte la saveur des aliments que vous avez consommés. C’est pourquoi, il semble judicieux de ne pas consommer certains aliments en excès pendant l’allaitement.
Vous ne voudriez pas rendre votre bébé accro au sucre n’est-ce pas ? 🙃
En fait, ce qui intéressant, c’est que selon votre alimentation, votre enfant allaité s’habitue progressivement aux aliments de la table familiale.
Et donc, il retrouve un large éventail de goûts familiers lorsque les aliments solides sont introduits. Ce qui est plutôt chouette non ?
Allergènes alimentaires
Comme je vous le disais, le lait maternel peut contenir des traces d’aliments et, parfois, un nourrisson peut être intolérant à certains éléments qui passe dans le lait maternel.
En général, il s’agit d’un aliment allergène courant, comme les protéines du lait de vache, le gluten…
(Plus de détails sur les allergènes dans la 2e partie )
🌸 Comment les matières grasses de mon alimentation affectent-elles mon lait maternel ?
Saviez-vous qu’il existe plus de 200 acides gras dans le lait maternel ?
Le rôle des acides gras dans l’alimentation de la maman allaitante
Si certains acides gras sont fabriqués dans le sein, d’autres proviennent de l‘alimentation de la mère, par exemple l’acide gras oméga-3 docosahexaénoïque (DHA) et l’acide gras oméga-6 arachidonique (AA).
Le DHA et l’AA sont des acides gras essentiels qui sont très importants pour le développement du cerveau, des yeux et du système nerveux.
Alors, oui l’alimentation de la mère peut influencer les proportions d’acide gras dans le lait maternel !
Certains auteurs ont aussi constaté qu’une partie de la teneur en matières grasses du lait maternel provient des réserves corporelles de la mère, qui auront été façonnées par son alimentation passée. (X)
Recherche sur les acides gras et l’alimentation maternelle
La recherche continue de découvrir l’importance des graisses saines dans l’alimentation d’une mère :
L’inflammation
Un auteur explique comment un excès d’acides gras oméga 6 (présents dans de nombreux aliments transformés) par rapport aux acides gras oméga 3 dans l’alimentation d’une mère peut être associé à l’inflammation, notamment aux maladies du côlon irritable et aux mastites récurrentes. (Y)
Risque de maladie
D’autres chercheurs étudient les associations entre le type de graisses consommées par la mère, leur métabolisme, et le risque de diabète, d’asthme, d’eczéma de l’enfant. (Z)
La teneur en matières grasses dans le lait maternel
Ce qu’il est aussi important de connaître, c’est que la teneur en matières grasses du lait maternel varie au cours d’une seule tétée !
Oui oui oui, je vous assure 🙂
Alors, pour permettre l’accès au lait gras à votre nourrisson, l’idée est de le laisser terminer le premier sein avant de lui offrir le second.
De ce fait, il obtient les matières grasses dont il a besoin sur une période de 24 heures.
Voilà, vous en avez déjà appris pas mal de chose dans cette 1ère partie. D’autres informations très utiles sont à venir juste en dessous !
Alimentation allaitement : réponses aux questions les plus fréquemment posées !
Parce que je souhaite répondre au mieux à vos besoins, j’ai demandé aux Mam’s de ma communauté Instagram quelles étaient leurs questions sur l’alimentation pendant l’allaitement.
Alors dans cette dernière partie, je réponds aux questions les plus fréquemment posées 🙂
1 – Que faire si mon régime alimentaire est principalement composé de malbouffe ?
Lorsqu’on parle de malbouffe, il s’agit principalement d’un régime alimentaire riche en calories en raison d’une teneur élevée en matières grasses et/ou en sucre.
Vous culpabilisez de manger trop de gâteau ou de boire trop de soda ?
Rassurez-vous, certains auteurs affirment qu’un régime de malbouffe n’a pas d’impact sur la production de lait (1).
MAIS… comme je vous le disais plus haut, un régime composé principalement de malbouffe pourrait prédisposer un bébé à préférer ce genre de nourriture plus tard dans sa vie (2)
De plus, il est aussi important de garder en tête qu’une bonne nutrition vous aide à rester en bonne santé !
Alors libre à vous de vous faire plaisir, tout en gardant en tête ce que je viens de vous dire 😉
2 – Comment reconnaître une intolérance alimentaire chez mon bébé ?
Il arrive parfois qu’un tout-petit soit sensible ou intolérant à certains aliments, ce qui peut le rendre agité ou lui causer des maux de ventre.
D’autres symptômes peuvent se manifester, tels que l’eczéma, les reflux, les vomissements, les éruptions cutanées, les diarrhées…
Si votre enfant semble mal à l’aise après avoir mangé quelque chose en particulier, essayez d’éviter cette nourriture pendant un certain temps pour voir si les symptômes se dissipent.
Par exemple, dernièrement, une maman me disait qu’elle avait limité les poivrons et le jus d’orange. En fait, elle avait remarqué que son petit bout était inconfortable après qu’elle ait consommé ce genre d’aliments.
Dois-je éviter les aliments allergènes ?
Il n’existe actuellement aucune recommandation visant à éviter les aliments typiquement allergènes tels que les noix ou le poisson pendant l’allaitement, sauf si la mère est elle-même allergique à quelque chose qu’elle doit éviter. (3)
Puis-je manger du poisson comme je le souhaite ?
Le poisson est une bonne source d’acides gras essentiels pour la mère qui allaite !
Méfiez-vous tout de même car certains types de poissons (surtout les gros poissons comme le thon, le saumon…) contiennent des niveaux élevés de mercure en raison de la pollution marine.
Alors, il est conseillé aux femmes enceintes et aux mères qui allaitent de limiter leur exposition potentielle au mercure, car celui-ci est particulièrement dangereux dans les premiers stades du développement du bébé.
Eh oui, il est préférable de ne pas exclure d’aliments du régime alimentaire de la mère, car l’allaitement est destiné à créer une tolérance !
Puis-je manger des cacahuètes pendant l’allaitement ?
Oui, c’est tout à fait possible.
Si vous souhaitez manger des cacahuètes ou des aliments contenant des cacahuètes, comme le beurre de cacahuètes, pendant l’allaitement, vous pouvez le faire dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée (3).
Sauf si vous savez que vous êtes allergique aux cacahuètes !
Mais rassurez-vous, il n’y a pas de preuve évidente que la consommation d’arachides pendant l’allaitement a une incidence sur les risques d’allergie aux arachides chez votre enfant.
3 – Boissons et allaitement
Puis-je boire du café ou de la caféine ?
La caféine pénètre dans le lait maternel et peut être difficile à éliminer pour un tout-petit, surtout au cours des premières semaines de sa vie.
Alors, si vous buvez beaucoup de café, faites attention aux éventuels signes d’agitation.
À savoir, lors d’une consommation usuelle (environ 3 tasses de café par jour), aucun signe particulier n’a été rapporté parmi un grand nombre d’enfants allaités !
Puis-je boire de l’alcool pendant l’allaitement ?
Il n’existe pas d’arguments permettant de déconseiller formellement la consommation d’une quantité modérée et/ou occasionnelle d’alcool.
Pour les prises occasionnelles, il est conseillé d’allaiter son bébé juste avant de commencer à boire de l’alcool, et d’attendre un certain temps (au moins deux heures) avant de le remettre au sein !
Bien sûr, la prise régulière d’alcool pendant l’allaitement n’est pas recommandée…
Et si votre choix est de boire occasionnellement, le plus important est de le faire en toute conscience 😉
Dois-je boire beaucoup d’eau ?
Mathilde avait entendu qu’il est nécessaire de boire 2 fois plus d’eau et de consommer davantage de tisanes !
N’étant pas une grande buveuse (d’eau), elle me disait que c’était difficile pour elle se de forcer à boire autant chaque jour…
Pourtant, il est inutile de boire plus que nécessaire, car cela n’augmente pas la production de lait et ça peut même être désagréable.
Comment savoir si l’on s’hydrate suffisamment ?
Il existe un indicateur très simple qui permet de savoir si vous buvez assez : la couleur de votre urine.
Si celle-ci est claire, vous buvez convenablement, mais si elle est jaune foncée, votre corps a besoin d’être hydraté rapidement !
Alors, buvez en fonction de VOTRE soif.
De nombreuses mamans ont soif lorsqu’elles allaitent, surtout dans les premiers temps. Alors, il peut être utile d’avoir un verre d’eau à portée de main.
Le volume du lait est augmenté par une vidange efficace et continue des seins, et non par la quantité de liquide que vous buvez.
4 – Puis-je prendre des médicaments pendant l’allaitement ?
De nombreux médicaments sont compatibles avec l’allaitement.
Voici un site référent pour vous permettre de vérifier la compatibilité des médicaments : LE CRAT
5 – Allaitement & IMC
Dois-je manger plus de nourriture pendant l’allaitement ?
Au cours des 4 à 6 premiers mois de sa vie, un bébé doublera son poids de naissance uniquement avec le lait maternel.
Votre métabolisme gère efficacement ces besoins énergétiques en utilisant les réserves de graisse accumulées pendant la grossesse et en mangeant environ 500 calories supplémentaires par jour (4).
Par contre, les femmes qui souffrent d’insuffisance pondérale ou de malnutrition sans réserves de graisse peuvent avoir besoin de manger plus que cela…
Puis-je allaiter si je suis en sous-poids ?
On dit qu’un régime alimentaire de moins de 1500-1800 calories par jour, réduit la production de lait (5).
Pourtant, d’après une étude, il y a très peu de différences entre le lait d’une femme en bonne santé et celui d’une autre très mal nourrie.
En fait, dans le 2e cas, l’organisme puise dans les réserves de façon à combler le manque de calories.
Mais les mères très en sous-poids n’ont pas forcément de réserves de graisse importantes pour répondre aux besoins caloriques supplémentaires de l’allaitement…
Et si je suis en surpoids ?
Le lait maternel peut « arriver » plus tard lorsqu’une mère est en surpoids et que son IMC avant la grossesse est supérieur à 26.
De plus, une mère en surpoids peut avoir une faible production de lait en raison d’une réponse plus faible de la prolactine (6) (7).
Alors, si vous êtes dans cette situation, il peut être utile de vous faire accompagner pour la bonne mise en route de la lactation.
6 – Dois-je prendre des vitamines ou des compléments alimentaires pendant l’allaitement ?
Dans la plupart des cas, si vous suivez un régime alimentaire sain, vous recevrez toutes les vitamines et tous les minéraux dont vous avez besoin !
Il y a tout de même, certains gynécologues qui recommandent un complément alimentaire (de type Gestarelle) riche en acide folique, en iode, en fer, en Oméga 3, en vitamines et en minéraux.
Le mieux est de demander l’avis de votre médecin. Eh oui, car c’est lui qui aura la réponse la plus adaptée en fonction de vos besoins 🙂
Il faut toutefois savoir que certaines carences en vitamines ou minéraux peuvent se glisser dans certains régimes et modes de vie…
Voici quelques exemples :
La vitamine D
La vitamine D est fabriquée dans le corps suite à l’exposition de la peau au soleil. Seulement, une petite quantité provient de notre alimentation.
Et en raison du manque de soleil dans certaines régions, certaines personnes présentent une carence en cette vitamine !
La vitamine B12
Les régimes végétaliens et certains régimes végétariens stricts peuvent ne pas avoir suffisamment de sources naturelles de vitamine B12.
Les mères qui suivent ces régimes peuvent avoir besoin de vérifier leur état vitaminique ou de prendre des suppléments.
L’objectif étant de s’assurer que leur enfant reçoit suffisamment de vitamine B12 par le biais de leur lait maternel.
L’iode
L’iode est un oligo-élément présent dans les fruits de mer, les céréales et les grains.
Saviez-vous qu’il contribue à la fabrication des hormones thyroïdiennes ?
Comme certains régimes alimentaires peuvent être pauvres en iode, certains pays recommandent une supplémentation systématique en iode pour les mères qui allaitent (8).
L’iode est très important pour le développement cérébral de votre enfant !
Le fer
Une supplémentation en fer n’est pas nécessaire chez la mère allaitante qui ne présente pas d’anémie (9)
À savoir, la prise de compléments n’augmentera pas le taux de fer dans le lait maternel, mais un faible taux de fer chez la mère pourrait être lié à une faible production de lait.
🌸 Pour conclure…
Je pense qu’on a fait à peu près le tour et j’espère que cet article a répondu à vos questions 🙂
Et n’oubliez pas, nul besoin d’avoir une alimentation pendant l’allaitement !
Bien sûr, les principes d’une nutrition saine, variée et équilibrée recommandée durant la grossesse s’appliquent aussi pendant l’allaitement.
Mais, en soit, il n’y a aucune règle alimentaire spécifique (excepté pour la consommation de caféine et d’alcool).
Alors faites vous plaisir, tout en ayant conscience de ce que vous mangez 😉
Pensez aussi à observer votre petit bout, car c’est lui qui vous guidera le mieux.
Je vous souhaite un bel allaitement ❤️
Et chez vous, est-ce que votre bébé a toléré tous vos aliments pendant l’allaitement ?
Partager vos avis, questions ou expériences en commentaire 🙂
Autres sources : (Z) Wilson, 2018
(1) Bonyata, Comment l’alimentation d’une mère affecte-t-elle son lait? 2018
(5) Marasco et West, 2020
(9) ABM Clinical protocol #29. Iron, zinc, and vitamin D supplementation during breastfeeding. Taylor SN and The Academy of Breastfeeding Medicine Protocol Committee. Breastfeed Med 2018 ; 13(6) : 398-404.
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J’en serai ravie 🙂
Bonjour Sophie ! Eh bien oui de mon côté j’ai eu le souci des allergènes ! Pas de protéines de lait de vache, sinon bébé était malade ! Super article, très complet, encore une fois 🙂 Céline LB
Je suis très contente pour le rappel concernant l’alcool sans être hyper culpabilisatrice, ça fait plaisir!
Merci pour cet article et ces infos si importantes!
Oui parfois certaines mères reçoivent les mauvaises infos concernant l’alcool et l’allaitement. Il y a aussi beaucoup d’idées reçues sur le sujet !
Merci pour cet article complet ! j’ai bien aimé l’idée reçue comme quoi il fallait boire bcp de lait (de vache j’imagine) pour produire du lait maternel …
Eh oui, on entend vraiment toutes sortes de choses sur l’alimentation et l’allaitement 😅
Joli article très complet. J’avoue que pour l’alcool, cette phrase du Dr Newman m’avait fait déculpabilisé « si vous êtes trop saoule pour mettre bébé au sein, demandez de l’aide. » A consommer avec modération bien sûr 😉
Ah je n’avais pas entendu cette phrase du Dr newman 😅 Phrase à prendre avec des pincettes bien-sûr 😆
[…] aliments peuvent stimuler (ou baisser) ta production de […]